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Ce qu’il y a de bien avec les documents officiels de la Banque de France c’est qu’ils présentent des chiffres qui montrent que les choses vont bien. Sa dernière enquête portant sur l’accès au crédit des TPE, PME et ETI sur le premier trimestre 2014 en est la preuve.
Elle indique que 70% des PME et ETI ont obtenu des crédits
de trésorerie et que 90% d’entre elles ont obtenu des crédits d’investissement.
Merveilleux. Seul bémol, il semble que les résultats soient moins bons pour les
TPE puisque ces chiffres passent à 61% pour les crédits de trésorerie et à 84%
pour les crédits d’investissement.
Mais, ce qui est étonnant, c’est que la même enquête montre
que seulement 20% des PME ont sollicité auprès de leur banque un crédit d’investissement.
La raison ? Elles avaient peur que leur prêt leur soit refusé …
On pourrait alors arguer que cette crainte était infondée
puisque 90% des demandes ont été satisfaites ? C’est sans compter avec les
contraintes imposées par Bâle III qui auraient sans doute fait baisser
sensiblement ce taux … Par ailleurs, ce
que ne dit pas l’étude, c’est la liste des garanties qui ont dû être mises en
face de ces crédits ni quelles entreprises ont eu droit à quoi : en effet,
une PME est une entreprise dont le nombre de salarié varie de 1 à 249 tandis
que les ETI sont les entreprises de 250 à 4 999 salariés.
Mais peut-on réellement comparer une entreprise de 11 salariés et une de 249 ? Pourtant, les deux entreprises sont de la même catégorie.
Mais peut-on réellement comparer une entreprise de 11 salariés et une de 249 ? Pourtant, les deux entreprises sont de la même catégorie.
Le vrai problème est que les dirigeants d’entreprises,
surtout pour les plus petites d’entre elles, ne sont pas experts en financement
et associent encore de manière équivalente « banque » et « financement ».
Le second problème est qu’en cas de refus de la part de la banque ou qu’en cas
de crainte de refus de la banque, le dirigeant de PME s’en retourne dans son
bureau en se demandant comment il va pouvoir faire …
Pourtant, il existe des solutions extra-bancaires, au sens
où des entreprises proposent des solutions de financement pas nécessairement
originales sur le fond (un prêt reste un prêt), mais bien sur la forme.
Exemple 1 : L’affacturage revu et corrigé par Finxekap
Pour avoir moi-même eu à gérer des relations avec des
factors, je peux témoigner que travailler avec ces gens-là est cauchemardesque …
Tout d’abord, il faut savoir que la plupart des factors sont
des émanations des banques qui y ont vu un moyen d’externaliser leur risque (et
oui, pour un banquier, une entreprise est un risque). Ce sont donc des
banquiers qui raisonnent et pratiquent comme tels : documents à n’en plus
finir, garanties dans tous les sens, alinéas en minuscule, renvois à des
conditions particulières, frais abscons, engagements de toute sorte, etc..
Bref, des documents à ne jamais signer sans avoir un avocat spécialisé à côté
de soi.
Ensuite, les coûts sont exhorbitants et les retenues de
garanties sont très difficiles à récupérer en cas de litige.
Enfin, les interlocuteurs sont souvent difficiles à joindre
et ne savent généralement pas gérer les cas « compliqués ».
Pourtant, l’affacturage est un très bon moyen de financer sa
trésorerie et est en plus peu risqué pour le factor dans la mesure où il s’agit
de services ou de produits facturés et donc a priori non litigieux.
Finexkap a donc relevé le défi et après s’être assurés qu’elle
avait le droit de se lancer à l’assaut de la citadelle du financement des
entreprises, elle a repensé l’affacturage en ne gardant que les fondamentaux et
en enlevant les scories procédurières accumulées depuis des années par les
banques.
Son principe : simplicité, pas d’engagement, pas de
garantie du dirigeant
Cela donne un produit simplissime à utiliser :
- saisie du SIREN de son entreprise
- réponse à quelques questions pratiques
- scan de la copie de la carte d’identité du dirigeant et 3 relevés bancaires de l’entreprise
Si tout cela est fait (et cela ne prend que quelques
minutes) et que votre compte est validé, il suffit ensuite de scanner vos factures, de les envoyer via la plateforme de Finexkap et le tour est joué.
Côté coûts, on est loin de ce qui se pratique du côté des
factors classiques :
- retenue de garantie de 10% du montant de la facture cédée qui est rétrocédée après paiement par le client de la facture
- commission unique de 2.49 % avec un minimum de 100 € par facture
Attention toutefois, Finexkap ne prend que les factures dont
le montant est supérieur à 1 000 € TTC, mais gageons que cette
caractéristique évoluera dans les mois à venir …
Le seul véritable problème de cette solution est qu’elle ne
sera complètement opérationnelle qu’en septembre 2014 … D’ici-là, il ne vous
reste plus qu’à vous inscrire sur la plateforme de Finexkap sur http://www.finexkap.com pour être prêts pour
la rentrée !
Exemple 2 : les prêts revus par Isodev
Avez-vous déjà essayé d’aller voir votre banquier pour lui demander de vous prêter 50 000 € pour pouvoir restructurer votre activité (en d’autres termes, pour payer les indemnités de licenciement …) ? Je crains que vous ne fassiez en fait partie des 80% des dirigeants de PME cités par l’étude de la Banque de France qui ne sollicite pas de prêt auprès de leurs banque par crainte de le voir refusé …
Pourquoi ? Parce que non seulement il y a effectivement
des chances élevées que ce prêt vous soit refusé, et que s’il est accepté (parce
que vous vous serez porté caution personnellement) le dossier mettra des
semaines à être validé, ayant navigué pendant tout ce temps de comités de
risque en services divers ou tout simplement pare qu’il aura été oublié par
votre conseiller favori sur son bureau …
Fort de ce constat, Isodev a conçu un produit qui s’appelle
Boost PME et qui vous permet de bénéficier sous 10 jours (après avoir reçu
votre réponse en 48h) d’un prêt allant de 15 000 à 150 000 €, sans
garantie, sans caution et remboursable en 5 ans avec un taux fixe similaire à
celui d’un découvert.
Encore une fois, Isodev fonctionne de manière dématérialisée
puisque tous les documents (et encore ne s’agit-il principalement que des deux
derniers bilans augmentés d’une éventuelle note décrivant l’activité de l’entreprise)
sont transmis par email.
Les critères d’éligibilité à ce prêt sont simples :
- l’entreprise doit être de droit français
- elle doit avoir au moins 24 mois d’activité et disposer de fonds propres d’au moins 15 k€
- elle doit être inscrite au Registre des Métiers et du Commerce
- elle doit avoir un chiffre d’affaire compris entre 150 k€ et 15 M€
- elle ne doit pas être en procédure collective (Sauvegarde, Redressement Judiciaire)
- elle ne doit pas avoir une activité de nature civile (professions libérales, SCI, etc.)
Seul bémol, vous ne pouvez pas en tant que dirigeant accéder
directement à Isodev, mais vous devrez passer par un intermédiaire (comme votre
serviteur). Toutefois, vous pouvez toujours vous rendre sur le site d’Isodev sur
http://www.isodev.fr pour vous faire une idée
de leur offre complète.
Ces deux exemples, pris parmi plusieurs initiatives du même
genre, montrent qu’il existe des solutions de financement extra-bancaires très
efficaces pour votre entreprise qui ont en outre pour avantage d’être sans
garantie ni caution, sans procédure de mise en œuvre complexe qui nécessiterait
la présence d’un DAF à temps plein et surtout sans engagement qui vous lierait
sur plusieurs années.
Alors, êtes-vous prêts à vous financer autrement ?
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Si vous avez besoin de conseils pour mettre en place des outils de financement de votre activité efficaces, contactez-nous sur Creative Consulting pour que en discutions.
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